Désormais, la plateforme pourra communiquer aux autorités les adresses IP et numéros de téléphone de certains utilisateurs dans des cas bien spécifiques. Ce changement survient après la mise en examen en France de son PDG,Pavel Dourov, marquant une rupture avec la ligne de conduite initiale du réseau.
La question se pose alors : Est-ce le début de la fin pour Telegram ? Si la décision vise à lutter contre des activités illégales, il n’en reste pas moins que cette nouvelle politique pourrait entamer la confiance des utilisateurs qui ont choisi cette application précisément pour son cryptage et son engagement envers la confidentialité. Comme pour Facebook, cette décision pourrait pousser une partie des utilisateurs à chercher des alternatives plus sécurisées.

Telegram est-il en passe de suivre la même trajectoire que Facebook après son scandale Cambridge Analytica ? Seul le temps le dira, mais l’impact sur la confiance des utilisateurs sera certainement non négligeable.